Q1: Comment vous appelez-vous et quel âge avez-vous ? Réponse: "Je m'appelle Ahmed Benali et j'ai 29 ans. Je viens d'Alger, en Algérie, et je vis à Toulouse depuis huit mois pour finir mes études de médecine." Q2: Depuis combien de temps habitez-vous dans cette région ? Réponse: "J'habite dans la région Occitanie depuis huit mois exactement. Je suis arrivé en juillet dernier pour faire mon internat à l'hôpital de Toulouse." Q3: Que faites-vous pendant vos loisirs ? Réponse: "Pendant mes loisirs, j'aime lire des livres de médecine et des romans. Je joue aussi aux échecs avec des amis étudiants. Le week-end, je visite les musées de Toulouse."

Bonjour, je voudrais adopter une alimentation plus saine, par où commencer ? Qu'est-ce qu'il faut absolument éviter dans mon alimentation actuelle ? Combien de repas par jour vous me conseillez ? Est-ce que je dois compter les calories ? Quels sont les aliments à privilégier ? Est-ce que je peux continuer à manger de la viande ? Qu'est-ce que vous pensez des régimes sans gluten ? Comment je peux remplacer le sucre ? Est-ce qu'il faut prendre des compléments alimentaires ? Qu'est-ce que je fais si j'ai des fringales ? Combien d'eau je dois boire par jour ? Est-ce que je peux faire des écarts de temps en temps ? Comment savoir si ce que je fais marche ? Au bout de combien de temps on voit des résultats ? Est-ce que vous faites un suivi personnalisé ?

Bonjour madame, bonjour monsieur, Oui, je suis plutôt d'accord avec cette affirmation : les examens traditionnels ne permettent pas toujours d'évaluer correctement toutes les compétences d'un étudiant. D'abord, les examens évaluent surtout la capacité à mémoriser et à restituer des informations dans un temps limité. Mais dans la vraie vie, ce qui compte, c'est savoir chercher l'information, l'analyser, la synthétiser, travailler en équipe. Un étudiant peut très bien connaître son cours par cœur et avoir une excellente note, mais être incapable de résoudre un problème concret ou de s'adapter à une situation nouvelle. Ensuite, le système d'examen favorise certains profils d'étudiants. Ceux qui ont une bonne mémoire, qui travaillent bien sous pression, qui maîtrisent l'art de la dissertation. Mais qu'est-ce qu'on fait des étudiants créatifs, de ceux qui préfèrent les projets pratiques, ou de ceux qui ont besoin de plus de temps pour réfléchir ? Ils sont pénalisés alors qu'ils ont peut-être d'excellentes compétences dans leur domaine. Il faut aussi dire que le stress des examens peut complètement fausser les résultats. J'ai connu des étudiants brillants qui perdaient tous leurs moyens le jour J, et d'autres, moins bons en cours, qui excellaient aux examens. Est-ce que ça reflète vraiment leur niveau ? Cela dit, je ne pense pas qu'il faille supprimer tous les examens. Ils permettent quand même de vérifier que les bases sont acquises. Mais il faudrait les compléter avec d'autres modes d'évaluation : projets en groupe, présentations orales, stages pratiques, portfolios... Pour conclure, je pense que les examens sont un outil d'évaluation parmi d'autres, mais ils ne suffisent pas à mesurer toutes les compétences d'un étudiant. Merci de votre attention.

Q1: Décrivez votre famille en quelques mots Réponse: "Ma famille est assez traditionnelle. Mes parents sont tous les deux professeurs à Alger. J'ai une sœur médecin et un frère qui étudie l'architecture. Nous sommes très unis." Q2: Quel repas préférez-vous dans la journée ? Réponse: "Je préfère le dîner parce que c'est le moment où je peux me détendre après une longue journée à l'hôpital. J'aime prendre le temps de bien manger et de me reposer." Q3: Utilisez-vous les transports publics ? Réponse: "Oui, j'utilise le métro et le bus tous les jours pour aller à l'hôpital. C'est pratique et économique. J'ai un abonnement mensuel qui me coûte moins cher qu'une voiture."

Bonjour, je voudrais créer un potager, mais je débute complètement. Quels légumes vous me conseillez pour commencer ? À quelle période il faut planter ? J'ai besoin de quels outils de base ? Quelle taille de terrain il me faut minimum ? Est-ce que ça marche aussi sur une terrasse ? Comment je prépare la terre ? Est-ce qu'il faut mettre de l'engrais ? À quelle fréquence il faut arroser ? Comment lutter contre les insectes naturellement ? Qu'est-ce que je peux planter maintenant au printemps ? Combien de temps avant la première récolte ? Est-ce que vous donnez des conseils après l'achat ? Vous avez des stages d'initiation ? Quel budget je dois prévoir pour démarrer ?

Bonjour madame, bonjour monsieur, Oui, je pense qu'il faudrait effectivement interdire, ou au moins fortement limiter, la publicité destinée aux enfants, et je vais vous expliquer pourquoi. D'abord, les enfants n'ont pas la maturité pour comprendre les intentions commerciales derrière les publicités. Ils prennent tout au premier degré. Quand ils voient une pub pour des céréales colorées avec un personnage rigolo, ils ne se disent pas "on veut me vendre quelque chose". Ils pensent juste que c'est amusant et que ça leur fera du bien. C'est de la manipulation pure et simple sur des esprits fragiles. Ensuite, ces publicités créent des désirs artificiels et mettent une pression énorme sur les parents. L'enfant voit une pub pour un jouet et il le veut immédiatement. Il fait des crises au magasin, il harcèle ses parents. Et les parents, soit ils cèdent et dépensent de l'argent qu'ils n'ont pas forcément, soit ils résistent et se sentent coupables de "priver" leur enfant. Il faut aussi parler de l'impact sur la santé. Beaucoup de publicités pour enfants concernent de la nourriture : bonbons, sodas, fast-foods. Résultat : les enfants développent de mauvaises habitudes alimentaires dès le plus jeune âge. Et après, on s'étonne qu'il y ait des problèmes d'obésité infantile. Certains disent que c'est aux parents d'éduquer leurs enfants et de leur expliquer. C'est vrai, mais pourquoi rendre la tâche plus difficile ? Si on peut éviter d'exposer les enfants à cette pression commerciale constante, pourquoi ne pas le faire ? Pour conclure, je pense que les enfants ont le droit d'être protégés contre les stratégies marketing agressives. Ils auront bien assez de temps pour devenir des consommateurs plus tard. Merci de m'avoir écouté.

Q1: De quel pays venez-vous ? Réponse: "Je viens d'Algérie, plus précisément d'Alger, la capitale. C'est une belle ville au bord de la Méditerranée avec beaucoup d'histoire et une architecture intéressante." Q2: Quelle est votre profession ? Réponse: "Je suis étudiant en médecine en dernière année. Je fais actuellement mon internat en cardiologie à l'hôpital universitaire de Toulouse. Après, je voudrais me spécialiser." Q3: Aimez-vous les animaux ? Lesquels ? Réponse: "Oui, j'aime beaucoup les animaux, surtout les chats. En Algérie, j'avais un chat qui s'appelait Minou. Ici, je ne peux pas avoir d'animal dans ma résidence étudiante."

Alors, raconte-moi comment ça se passe avec ton nouveau chiot ! C'est quelle race que tu as adoptée ? Il a quel âge maintenant ? Est-ce qu'il était déjà éduqué quand tu l'as eu ? Comment tu gères l'éducation au quotidien ? Il fait ses besoins dehors maintenant ? Est-ce qu'il pleure la nuit ? Qu'est-ce que tu lui donnes à manger ? Combien ça coûte par mois un chien ? Tu l'emmènes chez le vétérinaire souvent ? Est-ce qu'il s'entend bien avec les autres chiens ? Tu as dû aménager ton appartement ? Comment tu fais quand tu pars travailler ? Est-ce que c'est contraignant pour les vacances ? Tu me conseillerais d'en adopter un aussi ?

Bonjour madame, bonjour monsieur, Oui, je suis tout à fait d'accord : vivre en colocation est une excellente façon pour les jeunes de développer leur autonomie, et c'est souvent une étape importante dans leur passage à l'âge adulte. D'abord, la colocation oblige à apprendre la gestion quotidienne d'un logement. Il faut faire les courses, cuisiner, nettoyer, gérer un budget. Quand on vit encore chez ses parents, ce sont souvent eux qui s'occupent de tout ça. En colocation, on n'a pas le choix : soit on s'organise, soit on vit dans le chaos. C'est une façon concrète d'apprendre à être responsable. Ensuite, vivre avec des colocataires, ça développe les compétences sociales. Il faut négocier les règles de vie commune, partager les tâches ménagères, respecter l'espace de chacun. Parfois il y a des conflits qu'il faut résoudre. Tout ça prépare à la vraie vie, que ce soit en couple plus tard, ou même dans le monde professionnel où il faut sans cesse collaborer avec d'autres personnes. Il y a aussi l'aspect financier qui est très formateur. Quand on partage un loyer, les charges, les courses, on apprend à calculer, à économiser, à prévoir. Beaucoup de jeunes découvrent pour la première fois ce que coûte réellement la vie quotidienne. C'est une leçon précieuse. Enfin, je pense que psychologiquement, c'est très bénéfique. Ça donne confiance en soi de réussir à vivre de façon indépendante. Et en même temps, on n'est pas complètement seul comme dans un studio, donc c'est moins angoissant. Pour conclure, je pense que la colocation est un excellent compromis entre la dépendance familiale et l'indépendance totale. C'est une école de la vie très efficace. Merci de votre attention.

Q1: Parlez-vous d'autres langues que votre langue maternelle ? Réponse: "Ma langue maternelle est l'arabe, mais je parle aussi très bien le français depuis l'école. Je me débrouille en anglais pour lire les articles médicaux, et j'apprends un peu l'espagnol." Q2: Dans quel type de logement vivez-vous ? Réponse: "J'habite dans une résidence universitaire près de l'hôpital. C'est un petit studio avec une kitchenette et une salle de bain. C'est suffisant pour mes études et c'est pas cher." Q3: Quelle est votre saison favorite ? Réponse: "Ma saison préférée, c'est le printemps parce que les températures sont agréables et tout devient vert et fleuri. À Toulouse, le printemps est magnifique avec les arbres en fleurs."

Bonjour, je voudrais réserver pour un séjour au ski, qu'est-ce que vous proposez ? Vous êtes à quelle distance des pistes ? Est-ce qu'il y a une navette pour aller aux remontées mécaniques ? Vous louez du matériel de ski ? Quels sont vos tarifs pour une semaine ? Qu'est-ce qui est inclus dans le prix ? Est-ce que les repas sont compris ? Vous avez un spa ou un espace bien-être ? Y a-t-il des activités pour les non-skieurs ? Qu'est-ce que vous proposez pour les enfants ? Est-ce que vous avez encore de la place en février ? On peut annuler sans frais en cas de manque de neige ? Y a-t-il un parking couvert ? Qu'est-ce qu'il y a comme commerces dans le village ? Vous me conseillez quel forfait de remontées mécaniques ?

Bonjour madame, bonjour monsieur, Oui, je pense effectivement que les célébrités ont parfois une influence excessive sur l'opinion publique, et ce n'est pas forcément une bonne chose pour notre société. D'abord, il faut comprendre que la célébrité ne donne pas automatiquement de la compétence. Un acteur célèbre peut donner son opinion sur la politique, l'écologie, ou la santé, mais pourquoi son avis aurait-il plus de valeur que celui d'un expert dans le domaine ? Le problème, c'est que les gens écoutent plus facilement quelqu'un qu'ils admirent qu'un scientifique inconnu, même si ce scientifique est beaucoup plus qualifié. Ensuite, les célébrités utilisent souvent leur influence de façon irresponsable. Elles font des déclarations sans vérifier les faits, elles prennent position sur des sujets complexes en les simplifiant à l'extrême. Et comme elles ont des millions de followers sur les réseaux sociaux, leurs messages se propagent très rapidement, parfois avec de fausses informations. Il y a aussi un effet de mode dangereux. Quand une célébrité soutient une cause, tout le monde suit, sans forcément réfléchir. Et puis, quand elle change d'avis ou qu'elle disparaît des médias, la cause est abandonnée. C'est très superficiel comme engagement. Cela dit, je ne dis pas que les célébrités doivent se taire. Elles ont le droit d'avoir des opinions comme tout le monde. Et parfois, elles utilisent leur notoriété pour attirer l'attention sur des causes importantes. Mais nous, citoyens, nous devons apprendre à avoir un esprit critique. Il ne faut pas suivre aveuglément l'opinion d'une célébrité, mais se renseigner, croiser les sources, réfléchir par nous-mêmes. Pour conclure, le problème n'est pas que les célébrités s'expriment, c'est que nous leur donnons trop d'importance dans nos décisions. Merci de m'avoir écouté.